Aujourd’hui, on voudrait vous dire …

△▼ Aujourd’hui, on voudrait vous dire … △▼

… que nous avons tous le droit de dire F*** parfois !

Que l’on a beau savoir … le petit moi, le grand moi … la beauté des choses, la perfection de chaque événement dans nos vies, les signes qui nous amènent là où l’on doit aller, notre intuition, nos élans, nos inspirations, qui nous emmènent dans la direction de nos rêves … que tout est parfait ! Haha ! Oui oui … nous le savons !

Mais ce n’est pas pour ça qu’à chaque instant la vie est simple. Que tout ne se fait pas en un claquement de doigts … ha ha ! Oh oui nous aimerions parfois 🙂 Mais en même temps … si tout ce que nous désirons se réalisait en un claquement de doigts, quel serait l’intérêt du chemin ?

… Que la Vie est mouvement. Qu’elle est faite de cycles. De saisons. Hiver, printemps, été, automne. Que nous sommes sujets aux changements de saisons aussi. Que parfois nous sommes fatigué(e)s. Que parfois l’énergie nous manque aussi. Que parfois nous ne savons plus très bien si nous sommes exactement là où nous sommes censé(e)s être. Pourtant il est dit que nous sommes toujours à la bonne place.

Mais parfois nous ne savons pas très bien si nous devons nous écouter vraiment ou nous faire un peu violence. Ecouter notre corps qui a besoin de repos. Notre âme, qui pleure. Ecouter notre cœur et dire f*** aux obligations … Si nous sommes censé(e)s tout lâcher, oublier ce que l’on attend de nous, ce que nos situations socio-économico-professionnelles 😉 exigent de nous … pour suivre ce que nos vibrations nous dictent de faire … ou si au contraire nous devons trouver le moyen de retrouver l’énergie qui elle nous donne des ailes pour faire même les pires des tâches, lorsque nous devons les faire.

Arghhhhhh ! Dilemme absolu 🙂

Ce soir nous avons envie de dire F*** ! Alors nous le disons ! Et ça ira mieux demain 🙂 Les choses prennent du temps. Les plus belles choses prennent du temps !

Alors chaque jour, entre les moments plus difficiles et les petits f***s qu’on a envie de crier … et si on se posait deux minutes pour respirer … et si l’on savourait les autres moments de la journée où l’instant est parfait ?

Un verre de vin en terrasse, une discussion avec quelqu’un, pour se dire des choses que l’on ne s’est pas dites depuis longtemps, le soleil qui chauffe la peau, ses reflets sur la mer, une balade dans le quartier, un petit film au ciné, une phrase inspirante sur laquelle on tombe par « hasard » et qui réchauffe le cœur en deux secondes, une caresse, un câlin, un mot doux, encourageant, de quelqu’un qui n’en dit pas si souvent, des sushis pour le dîner, un conseil donné avec amour … Non mais attendez … Pourquoi avait-on envie de dire F*** déjà ??!!
Ha ha ha !!!
Ahhhhh ! La Vie !

Texte de « les allumettes« 

« Le Jour où je me suis aimée pour de vrai… »

« Le Jour où je me suis aimée pour de vrai… »
 

Le jour où je me suis aimée pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Alors, j’ai pu me détendre.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle estime de soi.

Le jour où je me suis aimée pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal, lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle authenticité.

Le jour où je me suis aimée pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle maturité.

Le jour où je me suis aimée pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux et sachant très bien que ni la personne ni moi-même, ne sommes prêts donc que ce n’est pas le moment.
Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle respect.

Le jour où je me suis aimée pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire : personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie. Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.

Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle amour de soi.

Le jour où je me suis aimée pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire des grands plans. Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plaît et à mon rythme.
Aujourd’hui, j’appelle ça simplicité.

Le jour où je me suis aimée pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison et je me suis rendue compte de toutes les fois où je me suis trompée.
Aujourd’hui, j’ai découvert l’humilité.

Le jour où je me suis aimée pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle plénitude.

Le jour où je me suis aimée pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon cœur, elle devient un allié très précieux.
Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter… Du chaos, naissent les étoiles.
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle… La Vie ! ».

Texte magnifique souvent attribué à Charlie Chaplin, qui l’aurait lu le jour de ses 70 ans, mais qui, en fait, aurait été écrit ou été repris par Kim McKillen…

78a1d52eabcdbda3671d6c3a3b57fc2f

La deshonnesteté des habits

Actuel Moyen Âge

En attendant le bus et en voyant littéralement déferler une cohorte d’adolescents à la sortie d’un lycée, une dame me livra ses impressions sur l’habillement de ces jeunes personnes qu’elle trouvait « inapproprié » et surtout « déshonorant ». J’ai alors souri. J’ai souri car, tout au long de l’histoire, il y eut toujours des jeunes gens mal habillés, en jupe trop courte, et surtout des gens et des instances pour s’en offusquer.

Au Moyen Âge, l’Église exerce sur la société un contrôle étroit. Le salut est au centre des préoccupations de chacun. Il s’agit de sauver son âme. Or celle-ci, loin d’être repliée dans un « for intérieur », entretient  d’étroites relations avec le corps qui l’héberge, et avec les étoffes qui le couvrent. L’Église élabore ainsi tout un discours moral sur le vêtement, dont les critiques  portent bien évidemment en priorité sur le vêtement féminin

Les sous-vêtements de…

Voir l’article original 643 mots de plus

Le magnésium : bon pour les enfants hyperactifs?

L'effet barbe à papa

banane

Il faut premièrement souligner que le corps ne produit pas de magnésium ainsi ce dernier doit être  absorbé par l’alimentation ou par un apport vitaminé.

Le magnésium est un must pour tout individu en croissance mais il est particulièrement utile pour les enfants hyperactifs et ceux souffrant de troubles de concentration. Le magnésium est impliqué dans la transmission des influx nerveux entre les neurones, contribue aux mécanismes de défenses immunitaires, a des propriétés antiallergique, anti-inflammatoire et est également utile contre l’irritabilité, la nervosité et l’insomnie.

Pour notre part, la supplémentation en magnésium calme nos enfants et leur aide à obtenir un bon sommeil. Très utile en périodes automnale et hivernale lors de la recrudescence des virus du rhume et de la grippe; le magnésium a une certaine efficacité antivirale à ne pas négliger.

Les sources alimentaires de magnésium sont les produits céréaliers, surtout ceux à base de farine non raffinée…

Voir l’article original 93 mots de plus

Mes souhaits pour le TDAH!

Article qui commence à dater… mais malheureusement toujours d’actualités !!

tdah365

En cette semaine de sensibilisation du TDAH (du 14 au 21 octobre 2012) plusieurs bonnes actions seront soulevées, des inégalités dans notre système de santé et des lacunes dans notre système scolaire seront dénoncées, des trous de services pour les personnes TDAH seront nommés, ainsi que le manque de financement dans des organismes œuvrant auprès des personnes ayant le TDAH.

Alors j’ai pensé faire autre chose qu’on ne fait pas souvent… faire des souhaits;

J’aimerai qu’on arrête de penser que c’est ma fatigue qui fait que mon jeune est hyperactif, mais plutôt le contraire.

J’aimerai pouvoir dire ouvertement que je suis épuisé, sans pour autant qu’on me diagnostique une dépression.

J’aimerai qu’on change le regard des étrangers à l’épicerie, qui pensent que mes enfants sont mal élevés.

J’aimerai qu’on change les commentaires que j’entends, en file à la banque, parce que c’est gênant et bruyant des enfants…

Voir l’article original 289 mots de plus

Le vaccin contre la grippe contient 25000 fois plus de mercure que ce qui est légalement autorisé dans l’eau potable

Free Wise Man

grippe

Des tests effectués sur des vaccins au Natural news Forensic Food Lab ont montré qu’un vaccin antigrippal fabriqué par GlaxoSmithKline (lot #9H2GX) contenait du mercure à un taux beaucoup trop élevé.

Les tests, très précis, ont été réalisés par ICP-MS (spectrométrie par torche à plasma) à l’aide d’une courbe d’étalonnage quadrupôle. Ils montrent que le taux de mercure dans le vaccin Flulaval s’élève à 51 parties par million, soit plus de 25000 fois le maximum qu’autorise l’Environnemental Protection Agency pour la contamination de l’eau potable par le mercure inorganique.

Voir l’article original 173 mots de plus

Quand « l’échec scolaire et l’illettrisme ne doivent plus être une fatalité »

Coup de gueule de matin… ça faisait un moment tiens
L’Académie nationale de médecine, lors de sa séance du 30 juin 2015 dédiée aux « troubles spécifiques des apprentissages chez l’enfant », a pris connaissance des problèmes posés par la dyslexie, la dyspraxie ou les troubles du langage et de l’attention. Leur fréquence est évaluée à environ 8% des enfants d’âge scolaire. Les nombreux échecs dans leur prise en charge sont responsables d’inadaptation sociale et professionnelle chez des enfants d’intelligence pourtant normale.
Article complet ici
On verra la suite donné au réel… parce que en attendant proposer des médocs comme la Ritaline au moindre truc de travers n’est pas le mieux… mais tellement plus simple pour certains parents qui veulent être tranquille

Outre-Atlantique, on la surnomme la Kiddy Coke, la cocaïne des enfants

 Ceci sans compter les adultes qui s’en procurent et s’en gavent pour se doper… au lieu de baisser un peu leur régime journalier et de dormir un peu plus !!
ritaline boites et gelules large
Je ne dis pas que cette molécule…  le méthylphénidate… qui est un psychotrope apparenté aux amphétamines… n’aide pas certains enfants mais quand on entend que la prescription a été multiplié par 100 en 10 ans… il y a de quoi se poser des questions…
Pour avoir vu les effets physiques sur 3 enfants l’été 2014 quand j’étais responsable de leur suivi sanitaire en colonie, j’ai eu peur plus d’une fois…
Voir un gamin s’effondrer peu de temps après la prise de ce médicament et « psychoter » pour savoir si il l’a bien pris car il trouve qu’il s’énerve trop (ce qui n’était pas le cas du tout mais on a du lui mettre une telle pression avec ce « médicament »)
 
 Avant d’y avoir recours, le Dr Dupagne recommande aux parents de dialoguer avec leur enfant. « La première chose à faire est de lui expliquer qu’il n’est pas malade, ni méchant, ni stupide, mais différent. Il faut lui expliquer le fonctionnement de son cerveau, valoriser ses qualités créatives, et l’aider à s’adapter au monde qui l’entoure. Car ce monde n’est pas fait pour lui. »
>> C’est que nous faisons ici pour ma fille… hors de question de prendre cette molécule… ou une autre du même acabit !!
>> Certes c’est plus long, fastidieux, fatiguant (pour nous mais aussi pour elle !!)… mais c’est comme ça que nous l’avons décidé… et avons eu la chance de tomber sur des psy contre cette molécule… trop prescrite pour faciliter la vie des parents et des enseignants… non obligatoirement nécessaire à l’épanouissement de l’enfant… tant que son TDAH n’est pas « handicapant »(je déteste ce mot)
>> Plusieurs choses sont possibles… des exemples ici ou
GARDEZ EN TETE QUE CES ENFANTS SOUFFRENT DE NE POUVOIR FAIRE MIEUX , FAIRE COMME IL FAUT…

« Incertitudes » sur les effets à moyen et long terme

Le méthylphénidate, principe actif de la RITALINE, est commercialisé sous d’autres noms de marque : RILATINE (en Belgique), RITALIN, DAYTRANA, METHYLIN, ATTENTA, METADATE, RITALINA, HYNIDATE, QUASYM, et bien sûr des médicaments génériques dont le nom contient le mot méthylphénidate. Les informations qui suivent sont valables pour tous ces produits. Les variantes concernent le délai et surtout la durée d’action du méthylphénidate après ingestion du médicament.

Comme pour beaucoup de psychotropes (médicaments agissant sur le cerveau), le mode d’action du méthyphénidate n’est pas connu avec certitude. Il modifie la transmission de l’influx nerveux entre les neurones, au niveau de leurs connexions qui sont appelées synapses :

synapse-libre-grande-fr-avec-explications

Le méthylphénidate semble augmenter la concentration de certains neurotransmetteurs (agents chimiques) dans la fente synaptique, notamment la noradrénaline et la dopamine. En fait, il est plus honnête de dire que nous ne savons pas vraiment comment fonctionne ce médicament, comme c’est le cas pour l’immense majorité de ceux qui agissent sur le psychisme, découverts généralement par tâtonnement en testant de nombreuses molécules sur des rats…

Ce produit a été breveté en 1954 par le laboratoire CIBA (devenu Novartis depuis). Le chimiste qui l’a découvert lui a donné le surnom de son épouse : Rita.

Le méthylphénidate étant un psychostimulant, il a été initialement utilisé pour traiter la dépression et la narcolepsieOpens in a new window. Son effet positif chez les hyperactifs est une découverte fortuite, puisqu’il a chez eux un effet inverse de celui observé chez le sujet « normal ».
Le méthylphénidate n’est pas efficace chez tous les zappeurs/TDAH et certains ressentent uniquement les effets dérangeants, comme des sujets normaux.

Les contre-indications divers et variés sont rarement prises en compte lors de la prescription

>> Contre-indications cardiovasculaires
Le méthylphénidate étant souvent à l’origine d’une accélération du coeur et d’une augmentation de la tension artérielle, il ne doit pas être utilisé en cas de maladie du coeur significative ou d’hypertension artérielle sévère, rares chez l’enfant. Un examen médical est recommandé avant la première utilisation de ce produit, avec auscultation cardiaque et prise de la tension artérielle. Les problèmes cardiaques survenus chez des parents proches de la personne qui recevra le médicament doivent également être signalés au médecin qui jugera s’ils constituent ou non une contre-indication. Par sécurité, le méthylphénidate est contre-indiqué en cas d’hypertension oculaire (glaucome chronique) également très rare chez l’enfant.

Le méthylphénidate est contre-indiqué en cas de malformation vasculaire cérébrale connue (anévrisme cérébral)  ou d’antécédent d’accident vasculaire cérébral.

Il s’agit de mesures de précaution. A l’heure actuelle, la toxicité cardiovasculaire du méthylphénidate chez l’enfant n’est pas établie.

>> Contre-indications psychiatriques

Toutes les maladies psychiatriques préexistantes susceptibles d’être aggravées par un psychostimulant contre-indiquent l’usage du méthylphénidate, et notamment la schizophrénie et la psychose hallucinatoire. Par précaution, ce médicament est contre-indiqué en cas d’idées suicidaires, de dépression sévère, d’anorexie mentale et de troubles graves de la personnalité.

>> Autres contre-indications

Le méthylphénidate est contre-indiqué chez les enfants allergiques à cette molécule, ou à l’amidon de blé utilisé comme excipient. Il s’agit bien d’une allergie au blé et non d’une intolérance au gluten qui est un problème différent. La quantité de gluten contenue dans le médicament est infinitésimale.

Par précaution, la RITALINE est contre-indiquée en cas d’excès d’hormones thyroïdiennes dans le sang lié à une maladie de la glande thyroïde, car l’accélération du coeur provoquée par le méthylphénidate s’ajouterait à celle induite par l’excès d’hormones. Le méthylphénidate n’a pas d’action sur la glande thyroïde elle-même et n’est pas contre-indiqué en cas d’augmentation du volume de la glande (goître) sans excès d’hormones dans le sang.

Ce qu’il faudrait faire dans l’intérêt de l’enfant… car c’est le but non ??…et ne pas oublier
… Sa prescription doit être précédée d’une éducation familiale destinée à faire découvrir au zappeur et à sa famille les ressorts de ce caractère particulier qui ne constitue pas une maladie. Des stratégies d’adaptation bien assimilées suffisent souvent à gérer les problèmes scolaires ou comportementaux.
… L’idéal est d’offrir aux zappeurs une école faite pour eux, ce qui est tristement quasi impossible en France. Dans la mesure où la scolarité constitue un filtre social permettant d’accéder aux métiers les mieux rémunérés, il est compréhensible que des parents préoccupés par l’avenir de leurs enfants poussent au traitement médicamenteux. Tout l’art du médecin sera de trouver un juste milieu dans son approche thérapeutique : toujours privilégier la pédagogie familiale et les mesures d’adaptation, mais savoir aussi prescrire lorsque c’est socialement (et non médicalement) nécessaire.
… Et si on allait faire un tour du côté de toutes les saloperies sucreries et autres aliments qu’on fait ingurgiter à notre progéniture… toutes les merdes pleins d’adjuvants vaccins qu’on leur injecte depuis leur petite enfance.
… Et si enfin on prenait réellement en charge nos enfants pour qu’ils puissent avoir l’occasion de s’épanouir en étant réellement accepter comme ils sont… avec leurs atouts et leurs difficultés… car avoir une béquille chimique ne va pas loin et n’aidera pas spécialement à renforcer la confiance en eux dont ils manquent cruellement pour la plupart d’entre eux !!
De l'importance de la marche et de la promenade pour le développement moteur et la découverte du monde des enfants de 18/24 mois:

« On ne peut exiger d’un enfant hyperactif avec des Troubles Attentionnels qu’il travaille avec concentration pendant plusieurs heures de suite, tout comme on ne peut exiger d’un enfant aveugle qu’il voit ou d’un enfant sourd qu’il entende. Accepter le diagnostic d’hyperactivité , c’est éliminer du même coup toute velléité de qualifier cet enfant de paresseux, d’irresponsable ou d’immature. » 

Citation du Docteur André Merminod, neurologue pédiatre au Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke

Article source en partie